Le baptême de l’air en parapente biplace est accessible à tous, sans connaissance particulière : Le pilote dirige la voile.
Mais cela ne veut pas dire que le passager est inactif, comme nous le verrons plus loin!
Vous avez entre 8 et 70 ans ?
– Vous pesez entre 40 et 100 Kg ?
– Vous êtes capable de courir 10 mètres, de sauter d’un tabouret ?
Alors nous avons déjà fait voler des gens comme vous !
Venez goûter au plaisir du vol, une sensation de glisse incomparable.
Vous aurez un point du vue unique sur le Bugey, depuis nos sites d’Evosges, Torcieu, Saint-Sorlin, Innimont, Le Luisandre, Oncieu.
Le décollage est assuré par le pilote, avec l’aide simple mais nécessaire du passager.
Après avoir étalé la voile au sol, et vérifié que tout est en place, pilote et passagers s’accrochent : ils sont prêts pour le décollage !
Le pilote aide la voile à monter au dessus de la tête, pendant que le passager commence à avancer, en fournissant ainsi l’énergie nécessaire à une action efficace du pilote.
On parle de gonflage, car la voile se remplit d’air pour prendre sa forme.
Une fois la voile bien gonflée, passager et pilote poursuivent leur course d’élan, en l’accélérant : le déplacement d’air autour du profil génère de la portance, et l’équipage décolle en douceur !
A tout moment, le pilote peut interrompre la séquence.
Le passager est assis devant le pilote, le panorama à 360°.
Le pilote dirige en tirant sur les poignées de freins, mais le passager peut aussi aider à tourner en s’inclinant dans le harnais.
Si les conditions s’y prêtent, le passager pourra prendre les commandes.
On pourra également tout lâcher pour prendre des photos, indiquer le paysage,…
C’est, avec le décollage, la phase qui généralement impressionne le plus les passagers lors de leur premier vol.
Techniquement, le pilote effectue une prise de vitesse, qu’il termine par un freinage synchronisé, en amplitude et en célérité, avec le retour au sol.
On parle de ressource, comme pour tout autre aéronef.
Pratiquement, le passager aura l’impression dans les 10 derniers mètres de descente que le sol lui « saute au visage », avant de sentir le ralentissement dans les tous derniers mètres.
Il suffit de se remettre debout quand le pilote l’indiquera (généralement avant la prise de vitesse), et de courir pour amortir l’arrivée au sol en quelques pas.
On peut comparer l’atterrissage à un saut depuis un tabouret : si vous faites 2 ou 3 pas pour amortir l’arrivée, tout ira bien. Si vous « rentrez le train » et posez sur les fesses, le dos n’aura pas la faculté de flêchir comme vos genoux !
L’atterrissage en parapente est beaucoup plus doux qu’en parachutisme, le « roulé boulé » n’a pas lieu en parapente !
Tout le matériel spécifique au parapente, harnais, casque est fourni par le pilote.
Il est indispensable de se munir de chaussures montantes pour se prémunir d’entorses aux décollage et atterrissage.
En vol, vous avez autant d’activité physique (quasi nulle) et de vent dans le visage (40km/h) qu’en pilotant une mobylette : habillez vous en conséquence, gants et coupe-vent recommandés, voire plus en fonction de la saison.
L’activité parapente est très liée aux conditions météo.
Les prévisions étant ce qu’elles sont, il est rarement possible de prévoir plus de 2 ou 3 jours à l’avance les créneaux favorables, et le lieu de vol qui dépend de l’orientation du vent.
Le rdv est à confirmer la veille par téléphone.
Le gentil bénévole qui gère l’inscription des Biplaces en fonction des disponibilités des passagers, des pilotes et bien sur de la météo.
Formulaire d' inscription pour un baptême BiplaceNico
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